Stress hydrique
Selon les Nations Unies, près de 3 milliards de personnes devraient avoir à faire face à un stress hydrique d’ici 2025.
Cette carte, éditée par le World Resources Institute, montre les projections de stress hydrique pour la planète en 2040 (en rouge foncé, les zones subissant le stress le plus important).
Le premier impact du stress hydrique s’observe sur la végétation. Lorsque l’évapotranspiration n’est pas compensée par des apports en eau douce. Le manque d’eau se fait ressentir, les plantes mettent en œuvre des mécanismes d’adaptation qui impactent par exemple leur développement et leur croissance. Les risques de feux de forêt augmentent alors. Les productions agricoles souffrent.
Puis ce sont les ressources en eau douce qui sont impactées. En effet, en période de manque d’eau, les rivières s’assèchent et les eaux souterraines risquent la surexploitation. La qualité des eaux est également dégradée (eutrophisation, pollution, intrusions salines, etc.).
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